Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

DOMAINE DES ETANGS - FRANCE

JARDINS PAYSAGERS DES HOTELS

COUP DE CŒUR - SO LANDSCAPE

Le Domaine des étangs - Massignac (16) France

Un concept d'hôtellerie "éclatée", une rénovation exemplaire d'un ancien domaine agricole.
Sur 850 hectares, 7 plans d'eau .22 chambres et suites 4**** réparties dans les dépendances du château (5 chambres) et les 6 métairies "éclatées" sur le domaine .
Hotellerie dans une ancienne seigneurie avec ses tours fortifiées et qui pose un décor médiéval dans un environnement naturel préservé.
Ici, tout n’est que charme, luxe et raffinement : pierre, verre, cuivre,terre cuite et bois s’associent pour donner aux chambres et aux suites ce charme unique. Finalement, on ne sait plus trop si le luxe est dans la décoration des chambres ou dans l’espace et dans la sérénité des lieux, offrant ainsi une sensation de liberté absolue...
Aucune maison n’est identique et chacune a un caractère rustique distinct. Elles comportent de 1 à 5 chambres avec vues sur les étangs et les prairies ou encore sur la forêt du Domaine.
DOMAINE DES ETANGS - FRANCE

Château, moulin reconstitué, métairies rénovées et dépendances arborent leur fidèle attachement au passé et à l'environnement rural de ces paysages de Charente limousine aux confins du fleuve Charente . Preuve de bon goût, les dernières technologies et innovations en matière de confort (chauffage par le sol) entretiennent un sens consommé de la discrétion au sein des matériaux du passé récupérés sur les différents sites régionaux.(boiseries, dallage granit, terre cuite, tomettes, tuiles courbes...)

C'est l'Architecte Bernard Peoc'h, malheureusement décédé, , installé sur le site pendant plus de 10 années , qui a oeuvré avec talent et respect toutes les années de la restauration du domaine , accompagné pendant plus de 5 années lors de la mise en valeur du paysage naturel du bocage par Patrice MATHE, l'Architecte paysagiste de l'agence ATEL Pii à Limoges .

« L'apparence requiert art et finesse ; la vérité, calme et simplicité. » de Emmanuel Kant « L'apparence requiert art et finesse ; la vérité, calme et simplicité. » de Emmanuel Kant
« L'apparence requiert art et finesse ; la vérité, calme et simplicité. » de Emmanuel Kant

« L'apparence requiert art et finesse ; la vérité, calme et simplicité. » de Emmanuel Kant

DOMAINE DES ETANGS - FRANCE

Les architectes ont totalement respecté la tradition rurale lors de l'aménagement des espaces verts des parcs du château, des abords des métairies et des berges des plans d'eau.

Les haies arbustives du bocage ont été restaurées et complétées par des essences locales comme la charmille ( carpinus betulus), le noisetier vert (coryllus avellana), le fusain d'Europe(Euonymus europaeus), la bourdaine (Frangula alnus), la viorne ( Viburnum opulus), le chataignier (Castanea sativa), l'églantier (Rosa canina),erable sycomore ( Acer pseudoplatanus), aulne glutineux (alnus glutinosa),houx commun (Ilex aquifolium),le prunellier,le sureau noir (sorbus nigra) les plantes grimpantes comme le chevrefeuille odorant (lonicera) ou le rosier ancien le long des murs et des clôtures.

Le sorbier des oiseaux ( sorbus aucuparia), le frêne commun (Fraxinus excelsior), le pommier sauvage ( Malus sylvestris),le merisier (Prunus avium) ( et le prunier myrobolan (prunus ceracifera) se partagent l'espace aux abords des métairies avec les arbres fruitiers, les arbustes à fruits rouges et la vigne.

Les haies ont été introduites au XVIème et XVIIème siècle afin de permettre à tout propriétaire de "faire clore ses héritages qu'ils soient : de murailles, haies, palis et fossés, pour les rendre deffensables." (droit si évident qu'il ne nécessitait aucune confirmation juridique).

La coutume donnait la liberté de "mener pacager les bestiaux dans les lieux non cultivés et qui ne soient pas clos" (il fallait donc planter des haies pour ne pas voir les bêtes d'autrui errer sur ses terres !). On y mettait alors des arbres fruitiers tels que pommiers, noisetiers, épine blanche et épine noire.

Toutefois, l'origine des haies date probablement du Moyen-Age, les terres n'étaient à l'époque, qu'épisodiquement cultivées.

Les paysans opéraient régulièrement des défrichements au sein des terres seigneuriales pour s'approprier quelques lopins et les mettre en culture pour leur propre compte.

Ainsi la constitution des bouchures s'est faite graduellement au rythme de la multiplication des hameaux et des défrichements, directement sur la terre, avec des gros chênes pour faire du bois de chauffage que l'on émondera pour former des têteaux.

La haie et surtout le maillage bocager est un lieu de vie pour les oiseaux, les insectes, reptiles, et autres petits mammifères. Les arbres à fleurs facilitent la vie des insectes pollinisateurs et les arbres à baie nourrissent les oiseaux, qui vont réguler les populations d'insectes.

On y trouve des espèces d'oiseaux nocturnes comme la chouette, hibou ainsi que des rapaces diurnes tels le faucon, la buse, l'épervier, ... ou encore des serpents (couleuvre, vipère ) et petits carnassiers de l'ordre de mammifères : belette, ...

Les passereaux sont tous insectivores et donc limitent la population d'insectes dans les cultures. Les haies buissonnantes leur offrent un lieu de vie idéale leur procurant baies, graines, insectes, larves ...

« La simplicité est la sophistication suprême. » de Léonard de Vinci

« La simplicité est la sophistication suprême. » de Léonard de Vinci

« Le paysage est un sentiment, un poème où la mélancolie est la plus forte. » de Gilles Léveillée  Extrait du Les paysages hantés
« Le paysage est un sentiment, un poème où la mélancolie est la plus forte. » de Gilles Léveillée  Extrait du Les paysages hantés « Le paysage est un sentiment, un poème où la mélancolie est la plus forte. » de Gilles Léveillée  Extrait du Les paysages hantés

« Le paysage est un sentiment, un poème où la mélancolie est la plus forte. » de Gilles Léveillée Extrait du Les paysages hantés

Tout l'art des l'Architectes a consisté à faire oublier les nouvelles plantations en les intégrant dans la structure bocagère existante et notamment tous les arbres de plein champ comme les chênes centenaires .Le paysage "construit"semble avoir toujours existé.

Les berges des 40 hectares de plans d'eau sont végétalisées avec simplicité et sans heurt avec le milieu .

avis du "petit futé" : Il faut partir à la découverte de cet immense espace naturel, apprécier le calme d’une promenade sur ses chemins privés, sentir les parfums de la végétation et dériver en barque sur ses étangs pour prendre la mesure de son caractère exceptionnel. Ici, on s'initie aux traditions d’un territoire rural, à son architecture, à son paysage et à son rythme de vie. Depuis peu, le domaine propose un parcours de découverte dans la forêt qui permet d’apprendre les écorces de certains arbres, détecter les empreintes des grands animaux comme les cerfs et les sangliers et observer les loges de pics noirs qui sont des oiseaux protégés. Autres animations : des balades à vélo sur les 25 km de sentiers privés. L'agrément des nombreux plans d'eau : grâce aux barques amarrées aux pontons, la pêche en « no kill » des carnassiers ou des grosses carpes, les promenades romantiques ou sportives satisferont les envies aquatiques de chacun.

« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets. » de Harry Bernard « Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets. » de Harry Bernard

« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets. » de Harry Bernard

Le jardin Planétaire, Le Jardin Planétaire est un concept destiné à envisager de façon conjointe et enchevétrée : -la diversité des êtres sur la planète -le rôle gestionnaire de l’homme face à cette diversité. ( Le jardin planetaire de Gilles Clément paysagiste)

Le jardin Planétaire, Le Jardin Planétaire est un concept destiné à envisager de façon conjointe et enchevétrée : -la diversité des êtres sur la planète -le rôle gestionnaire de l’homme face à cette diversité. ( Le jardin planetaire de Gilles Clément paysagiste)

VELA photographie 2009

VELA photographie 2009

UN ARBUSTE EN VEDETTE :

LES VIORNES

Les viburnums, ou viornes, sont des arbustes, à feuillage caduc ou persistant, utilisés en haies libres ou isolés, dans des bacs et des massifs pour leur jolie floraison blanche ou rose. Ils font également de bons couvre-sols. Cultivée pour son feuillage qui se teinte de rouge en automne. En automne, elle reste décorative grâce à ses baies, rouge plus ou moins intense.

Un peu de botanique

Appartenant à la famille des Caprifoliacées, le viburnum compte quelque 250 espèces de lisières et clairières et plus de 350 variétés ! Arbrisseau originaire du continent asiatique et de l’hémisphère Nord, il offre une très grande diversité de feuillage et de floraison.

Le nom français de « viorne » vient du latin viburnum qui signifie « lier », par allusion à la souplesse des rameaux. Au Québec, on désigne la viorne sous le nom de « pimbina », mot dérivé de l'algonquin nipimina, qui signifie « graines ou fruits amers ». La viorne est membre de la famille des caprifoliacées qui comprend plusieurs autres arbustes à petites baies, le chèvrefeuille notamment, qui s'appelait jadis caprifolium - littéralement « feuille de bouc » - et qui a donné son nom à la famille.

Les variétés :

Viburnum x bodnatense
3 m. Assez gélive, cette belle viorne caduque embaume divinement entre novembre et mars.
– ‘Charles Lamont’, boutons rouges ouvrant sur des fleurs rose foncé.
– ‘Dawn’, fleurs rose pur très parfumées.

Viburnum x burkwoodii
2 à 3 m. Une viorne pas très gran-de au feuillage persistant, vert foncé brillant, et aux fleurs blan-ches, groupées, très parfumées, roses en bouton, en avril-mai.
– ‘Anne Russel’ a un port compact et un feuillage caduc.

viburnum x carlicephalum
1,50 à 2 m. Viorne caduque assez trapue produisant en avril d’assez grandes boules de fleurs blanches, très parfumées. Le feuillage est magnifique en automne.

Viorne boule-de-neige (Viburnum opulus ‘Roseum’)
3 à 4 m. Aux grosses boules de fleurs blanches, en mai-juin,
succèdent des fruits rouge vif en août-septembre. Plantureuse, cette viorne caduque a un feuillage rouge en automne.

Viburnum plicatum
2 à 3 m. Cette viorne caduque séduit avant tout par son port étalé, mais aussi par sa floraison immaculée en mai-juin et ses couleurs d’automne.
– ‘Lanarth’, 3 m, port plus érigé.
– ‘Mariesii’, 2 à 3 m, un des plus beaux cultivars.
– ‘Watanabe’ syn. ‘Nanum Semperflorens’, 1 à 1,50 m, cultivar très florifère.

Laurier-tin Viburnum tinus

L’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGEL’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGEL’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGE
L’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGEL’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGEL’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGE

L’ARBRE ABATTU Mes traits de crayon sont tombés au sol. Du fidèle ami, guetteur des vallées, Perchoir de la buse, élançoir du col, Ne reste qu’un mort aux mains décalées. Je te cherchais de loin de mon regard vieilli, Toi qui toujours avais semblé me faire signe, J’affrontais le chemin gagné par les taillis, Comprenant peu à peu cette évidence indigne : Toi l’arbre d’amour maintes fois croqué, Œil panoramique, héros des paysages, Tu fus renversé, foulé, disloqué… Tu gis en morceaux brouillant ton image. Quand je ne vis de toi qu’un socle abandonné, Duquel soudain s’enfuit une ombre de reptile, Mes yeux te dessinèrent, vainqueur des genêts, En éternel martyr d’un massacre inutile" Jean-Charles DORGE

Tag(s) : #domaine des étangs -Massignac -France
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :