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Hôtel Four Seasons Firenze - Florence - Italie

COUP DE CŒUR - SO LANDSCAPE

Hôtel Four Seasons Firenze à Florence - Italie

Au centre historique de Florence , Le Four Seasons est composé de 2 bâtiments : le Palazzo della Gherardesca datant du XVe siècle et l'ancien couvent datant du XVIe siècle, Il Conventino.

réhabilité en hôtel entre 2000 et 2009 par le designer de Pierre yves Rochon.

Piazza Donatello (0,1 km) • Cathédrale de Santa Maria del Fiore (1 km) • Galleria dell'Accademia (0,7 km) • Église San Lorenzo (0,9 km) • Musée national du Bargello (1 km)

Environ quatre hectares et demi de magnifiques jardins Florentin séparent ces deux bâtiments.

5 ***** 116 chambres et suites .Chaîne hôtelière : Four Seasons Hotels and Resorts.

« un jardin consacré à Vénus, dans l’île de Cythère, et ce jardin est entièrement dominé par la géométrie. Au milieu du parc, qui est circulaire, des buis taillés figuraient des géants casqués dont chaque main supportait une tour, également en buis.»Francesco colonna 1499

« un jardin consacré à Vénus, dans l’île de Cythère, et ce jardin est entièrement dominé par la géométrie. Au milieu du parc, qui est circulaire, des buis taillés figuraient des géants casqués dont chaque main supportait une tour, également en buis.»Francesco colonna 1499

Le jardin à l'italienne (Giardino all'italiana) naît sur les collines qui bordent l’Arno, dans la région de Florence, au début de la Renaissance italienne, inspiré des jardins romains et napolitains .

"Durant la Renaissance italienne, la transformation de l’art des jardins s'effectue sans renoncer aux thèmes médiévaux qui usaient de pelouses, de treilles, de charmilles et de fontaines ornées de statues. La composition s'opère toutefois dans des ensembles plus vastes, étagés en terrasses et ouvrant sur de larges perspectives"

"A Florence, j'appris à faire la différence entre l'art des artisans, qui était d'un grand raffinement, et l'art des artistes, dans lequel se reflétait autre chose : le génie, l'exception, la nouveauté".  Le grand Coeur de Jean-Christophe Rufin  "A Florence, j'appris à faire la différence entre l'art des artisans, qui était d'un grand raffinement, et l'art des artistes, dans lequel se reflétait autre chose : le génie, l'exception, la nouveauté".  Le grand Coeur de Jean-Christophe Rufin
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"A Florence, j'appris à faire la différence entre l'art des artisans, qui était d'un grand raffinement, et l'art des artistes, dans lequel se reflétait autre chose : le génie, l'exception, la nouveauté". Le grand Coeur de Jean-Christophe Rufin

Le jardin, un univers chargé de signes

Les multiples éléments qui entrent dans l'édification des jardins de la Renaissance, sont chargés d'innombrables symboles. Les corbeilles remplies de fruits ou de pommes de pin, la statue d'une Vénus ou d'un faune, les sculptures de pierre, de marbre, de bronze ou de plâtre qui décorent le fond ou l'entrée d'une allée de modestes jardins contemporains sont, à coup sûr, un souvenir lointain de cette Renaissance, elle-même reflet des jardins de l'Antiquité où l'on célébrait la nature, les héros et les dieux;

Les jardins ne sont pas seulement un décor autour d’une maison. Les végétaux dessinent des parterres géométriques, les allées aux perspectives fuyantes ou s’ouvrent sur le paysage alentour, faisant de ce paysage, un élément esthétique du jardin. La symétrie, l’ordre et les proportions s’appuyent sur la science géométrique. La perspective devient prioritaire, rendant essentiels les plans dégagés, visibles de la maison ou d’une esplanade.

La technique du jardin est devenue un art. La statuaire est intégrée au décors végétal, élevant l’âme vers la beauté suprême et fait de l’homme, un demi-dieu créateur.

"l y a des villes comme Florence, les petites villes toscanes ou es-pagnoles, qui portent le voyageur, le soutiennent à chaque pas et ren-dent sa démarche plus légère. D'autres qui pèsent tout de suite sur ses épaules et l'écrasent, comme New York, et il faut y apprendre peu à peu à se redresser et à voir. " Camus"l y a des villes comme Florence, les petites villes toscanes ou es-pagnoles, qui portent le voyageur, le soutiennent à chaque pas et ren-dent sa démarche plus légère. D'autres qui pèsent tout de suite sur ses épaules et l'écrasent, comme New York, et il faut y apprendre peu à peu à se redresser et à voir. " Camus
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Promenez-vous au cœur de l'Hôtel dans l'un des plus grands jardins florentins, maintenu privé et invisible depuis des centaines années.

Les pelouses, ornées de pots à feux classiques et de grands vases Renaissance italienne, se prélassent dans un agencement parfait au milieu des saules et des muriers pleureurs . Les fontaines succèdent aux statues cernées par les bordures de buis taillés.

Il s'agit du plus grand jardin privé de la ville de Florence. Réalisé avec le palais du même nom, dont le plan a été fait par Giuliano da Sangallo au XVe siècle, il a été réamenagé et il est devenu de style anglais au début du XVIIIe siècle. Il présente des plantes qui ont plusieurs siècles: des séquoias, un érable et une Tassus Baccata, la plante la plus grande du jardin. Merveilleuse est en outre la collection d'azalées. Le jardin della Gherardesca abritait aussi des espèces qui étaient rares dans le passé: on a par exemple cultivé ici des mandarines au XIXe siècle. Des petits bâtiments agrementaient le jardin: une maison du café, un petit temple ionique et un Tepidarium, une sorte de piscine où prendre un bain de vapeur. Pendant la période où Florence a été la capitale italienne (1865-1871), des travaux ont réalisé une entrée monumentale du côté du boulevard Matteotti. Après la deuxième guerre mondiale, la proprieté du jardin changea et des travaux ont lieu. L'architecte Piero Porcinai réalise des travaux de restauration très remarquables et le jardin della Gherardesca retrouve son ancien charme.

"Rome la sainte, Bologne la docte, Gènes la superbe, Florence la belle, Venise la riche. ""Rome la sainte, Bologne la docte, Gènes la superbe, Florence la belle, Venise la riche. ""Rome la sainte, Bologne la docte, Gènes la superbe, Florence la belle, Venise la riche. "
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UN ARBRE EN VEDETTE

LE MANDARINIER ( CITRUS RETICULATA ET DELICIOSA )

Le mandarinier et le clémentinier font partie de la famille des Rutacées. Leur floraison couleur crème distille un parfum enivrant, et leurs fruits succulents, très semblables d'aspect, offrent une explosion de saveurs en plein cœur de l'hiver.

Le mandarinier (Citrus deliciosa) ;Le mandarinier est originaire de Chine et du Vietnam, où sa culture remonte à au moins deux millénaires. Dans la société chinoise, la consommation de ces fruits délicieusement parfumés et désaltérants, était l'apanage d'une élite sociale, celle des hauts fonctionnaires impériaux : les mandarins. C'est pourquoi cette orange du mandarin a gagné le nom de mandarine, qui nous est tous familier.

Le clémentinier (Citrus reticulata) est un arbuste issu d'une hybridation entre un mandarinier et un oranger. En 1892, le Père Clément, missionnaire dans un orphelinat d'Oran, aurait pratiqué ce croisement ; en son honneur la société algéroise d'agriculture décida de nommer son fruit "Clémentine". C'est une étude chromosomique inédite menée par la station INRA de San Giuliano en Corse qui a permis d'élucider avec certitude ses origines, car jusqu'alors on penchait pour une hybridation entre un Bigaradier à feuille de saule (Citrus salicifolia) et un mandarinier.

Dans l’Antiquité, une légende grecque raconte que les trois filles d’Atlas et d’Hespéris, vivaient dans un jardin dont l’entrée était gardée par un dragon à cent têtes. Dans ce jar- din, poussaient des arbres dont les fruits étaient en or et apportaient l’immortalité. Lors de son onzième travail, Hercule, tua le dragon, libérant les Hespérides, et cueillit les fruits, devenant ainsi immortel. Plus tard, les Romains appelèrent la Sicile, le jardin des Hespérides
Dans l’Antiquité, une légende grecque raconte que les trois filles d’Atlas et d’Hespéris, vivaient dans un jardin dont l’entrée était gardée par un dragon à cent têtes. Dans ce jar- din, poussaient des arbres dont les fruits étaient en or et apportaient l’immortalité. Lors de son onzième travail, Hercule, tua le dragon, libérant les Hespérides, et cueillit les fruits, devenant ainsi immortel. Plus tard, les Romains appelèrent la Sicile, le jardin des HespéridesDans l’Antiquité, une légende grecque raconte que les trois filles d’Atlas et d’Hespéris, vivaient dans un jardin dont l’entrée était gardée par un dragon à cent têtes. Dans ce jar- din, poussaient des arbres dont les fruits étaient en or et apportaient l’immortalité. Lors de son onzième travail, Hercule, tua le dragon, libérant les Hespérides, et cueillit les fruits, devenant ainsi immortel. Plus tard, les Romains appelèrent la Sicile, le jardin des Hespérides

Dans l’Antiquité, une légende grecque raconte que les trois filles d’Atlas et d’Hespéris, vivaient dans un jardin dont l’entrée était gardée par un dragon à cent têtes. Dans ce jar- din, poussaient des arbres dont les fruits étaient en or et apportaient l’immortalité. Lors de son onzième travail, Hercule, tua le dragon, libérant les Hespérides, et cueillit les fruits, devenant ainsi immortel. Plus tard, les Romains appelèrent la Sicile, le jardin des Hespérides

Tag(s) : #EUROPE
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